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Bet on Fire

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4 critiques: 3.06/5

visiteurnote
Chip E 2
Manolo 3.5
Guesar 4
Bastian Meiresonne 2.75


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Permanentes et Yamaha DX7

Un sujet pas mal (le petit monde pas très reluisant des call girls dans le Hong Kong pré-rétrocession), des actrices qui se débrouillent (Cherie Chung et Sharla Cheung principalement) et un charme so 80's qui plaira à l'amateur, mais l'ensemble manque de rythme et la révolte finale de Shing Fui-On ne convainc pas vraiment. Une relative déception.

27 mars 2013
par Chip E


Classique mineur !

Excellent Joe cheung, dans ce film ou l'on suit un night club et ses filles, a savoir Cheung Man en débutante et Cherie Cheung dans le role de la rebelle, Maria Cordero en mama san et Wu ma en tenancier, realisation tres bonne, servie par une musique touchante (James Wong) des combats violents trés bien rythmés (stephen Tung Wai) Shing Fui on dans le role du pere vengeur s'illustre dans un Final Over-the-top Ultra violent qui restera dans annales des finals cultes de L'age d'or du Cinema made in HK. A voir !

04 octobre 2006
par Guesar


Ne pas se laisser tromper par le titre...

...comme moi, j'ai pu naïvement me laisser prendre dans le piège. Fan des premiers Ringo Lam, j'ai commandé parmi mes premiers DVD en provenance de HK à l'aveuglette; et notamment tout ce qui incluait le mot "Fire" dans le titre. On apprend de ses erreurs...En parlant "erreur", le titre ne devrait-il pas plutôt s'écrire "Bed on Fire" ? Résumé pour les pauvres malheureux, qui n'auraient pas pu voir ce chef-d'oeuvre (et je vous imagine - à raison - nombreux) : Un père de famille trempe dans des affaires quelque peu louches et se fait coincer lors d'un braquage qui tourne mal. A l'annonce de son arrestation, sa femme est admise à l'hôpital, où l'on constate une malformation du coeur et donc nécessité d'opérer. Restent à la maison que deux filles, dont la grande vient de se mettre à la porte d'un salon de beauté pour cause de faillite et dont la plus jeune a besoin d'argent pour se payer ses études. Dilemme : comment se faire rapidement de l'argent pour a) payer une caution pour le père / b)payer l'opération à la mère / c) payer les études à la soeur ?!!! En choississant de se prostituer...enfin, de devenir "escort girl", donc de contourner adroitement toute coucherie. Et d'embrayer sur une éspèce de croisement entre comédie et étude réaliste du milieu HK des "ballroom girls" des '80s avec son lot de clients plus ou moins bizarres, jalouseries entre filles (avec séquence de crêpage de chignons), etc, etc. Pour finalement n'arriver qu'à une fin particulièrement violente et sanguilonente, les malheurs de notre petite famille du départ ne s'arrêteront pas là, puisque la meilleure amie de l'ainée, également prostituée, est atteint d'une maladie, qui lui fait cracher du sang, suite à un viol d'un important chef de triades. C'est à cause de ce chef, que le père se retrouve en prison. Bref, la fille ainée sera obligée de coucher avec ce chef pour éponger les dettes de sa meilleure amie suite à un krach boursier (et ouais, rien ne nous est épargné) et tout sera résolu à l'arme blanche dans un dernier 1/4 d'heure final parmi les plus sauvages et violents qu'il ne m'ait été donné à voir à ce jour (d'où classification cat. IIB - mais tout juste !). Mixture une nouvelle fois surprenante des genres, passant de la comédie au drame au revenge-movie des plus ignobles. Malgré tout, je ne me suis pas ennuyé une seconde; la réalisation est très honorable, la prestation des actrices vraiment bien. Le scénariste n'a pas hésité à donner un aperçu du quotidien des escort girls à HK et il n'aurait pas été vain de poursuivre dans cette étude réaliste. Une fois de plus : la fin est réellement dure, très idiote, mais à ce stade du film, il ne faudra plus se poser des questions - quoique SI : j'ai toujours été peu ouvert aux revenge-movies, genre "Un Justicier dans la Ville", et la vendetta du père à la fin m'est un brin trop raccoleur et graveleux pour adhèrer à la violence gratuite montrée. Une curiosité.

25 décembre 2003
par Bastian Meiresonne


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